Non, il s’agit du même concept. Le terme « proche aidant » a été introduit en 2003, tandis que le terme « aidant naturel » était déjà en usage et continue d’être employé, notamment en ce qui concerne des crédits d’impôt. Il est important de noter qu’un proche aidant ou un aidant naturel peut ne pas avoir accès aux crédits d’impôt, lesquels sont soumis à des critères spécifiques.
Voici la définition officielle de proche aidant statué en 2020 :
« Toute personne qui apporte un soutien à un ou à plusieurs membres de son entourage qui présentent une incapacité temporaire ou permanente de nature physique, psychologique, psychosociale ou autre, peu importe leur âge ou leur milieu de vie, avec qui elle partage un lien affectif, familial ou non. Le soutien apporté est continu ou occasionnel, à court ou à long terme, et est offert à titre non professionnel, de manière libre, éclairée et révocable, dans le but, notamment, de favoriser le rétablissement de la personne aidée, le maintien et l’amélioration de sa qualité de vie à domicile ou dans d’autres milieux de vie. » Loi visant à reconnaître et à soutenir les personnes proches aidantes, 2020, article 2 »
Non, il n’est pas nécessaire d’habiter avec la personne pour être considérée comme un proche aidant. Que votre proche vive seul, en foyer de groupe, en résidence pour personnes âgées ou même en CHSLD, le statut de proche aidant est défini principalement par le soutien que vous apportez à une personne en situation de dépendance ou maladie ou de handicap, indépendamment de votre lieu de résidence. Les critères peuvent varier en fonction des politiques ou des programmes spécifiques, mais en général, l’important est la nature et le niveau d’aide offert.
Il n’y a pas de reconnaissance formelle ou de certificat du statut de la personne proche aidante nécessaire pour devenir un proche aidant. Selon la Loi visant à reconnaître et à soutenir les personnes proches aidantes (2020), une personne proche aidante désigne: «toute personne qui apporte un soutien à un ou à plusieurs membres de son entourage qui présentent une incapacité temporaire ou permanente de nature physique, psychologique, psychosociale ou autre, peu importe leur âge ou leur milieu de vie, avec qui elle partage un lien affectif, familial ou non. Le soutien apporté est continu ou occasionnel, à court ou à long terme, et est offert à titre non professionnel, de manière libre, éclairée et révocable, dans le but, notamment, de favoriser le rétablissement de la personne aidée, le maintien et l’amélioration de sa qualité de vie à domicile ou dans d’autres milieux de vie. II peut prendre diverses formes, par exemple le transport, l’aide aux soins personnels et aux travaux domestiques, le soutien émotionnel ou la coordination des soins et des services. II peut également entraîner des répercussions financières pour la personne proche aidante ou limiter sa capacité à prendre soin de sa propre santé physique et mentale ou à assumer ses autres responsabilités sociales et familiales.».
Il est possible d’informer le système hospitalier que vous êtes proche aidant afin, entre autres, de pouvoir aller visiter votre proche en dehors des heures de visite s’il y a hospitalisation. Toujours avec le consentement de votre proche, cela pourra faciliter la communication avec les soignants. Nous vous suggérons d’informer votre comptable de votre rôle de proche aidant afin de valider si vous pouvez être reconnu au niveau fiscal comme « aidant naturel » et avoir droit à différents avantages fiscaux. Vous pourriez aussi avoir besoin d’une attestation de proche aidant si vous désirez vous prévaloir auprès de votre employeur des congés payés pour exercer ce rôle (voir https://www.cnesst.gouv.qc.ca/fr/conditions-travail/statuts-particuliers/proches-aidants)
Il est aussi possible de représenter son proche en devenant procurateur, assistant ou tuteur. Consultez un juriste ou informez-vous au Curateur Public (https://www.quebec.ca/gouvernement/ministeres-et-organismes/curateur-public/coordonnees) ou auprès d’Éducaloi pour mieux connaître comment représenter un proche (https://educaloi.qc.ca/dossier/proches-aidants/). L’APPAD peut également vous informer sur les démarches à effectuer.
Non, la définition officielle de la proche aidance mentionne que « Le soutien apporté est continu ou occasionnel, à court ou à long terme, et est offert à titre non professionnel, de manière libre, éclairée et révocable, (…) » et est donc un soutien qui est offert sans rémunération. Toutefois, des aides financières existent afin de limiter l’impact de votre rôle sur vos finances. Vous pourriez bénéficier d’avantages fiscaux, de ressources ou encore de services adaptés à vos besoins.
Aussi, des prestations d’assurance-emploi peuvent être offertes pour les proches aidants lorsqu’ils doivent s’absenter du travail pour fournir des soins ou du soutien à une personne gravement malade, blessée ou qui a besoin de soins de fin de vie. Il existe trois types de prestations possible (les prestations pour proche aidant d’enfant, les prestations pour proche aidant d’adulte et les prestations de compassion).
Certains signes d’épuisement tels que les troubles de sommeil, l’irritabilité, l’anxiété ou la dépression apparaissent? N’hésitez pas à prendre des mesures pour préserver votre bien-être tout en continuant à offrir un soutien à votre proche. Il faut garder en tête que si vous souhaitez continuer à prendre soin de votre proche, il est essentiel que vous preniez soin de vous-même.
Accepter que vous ressentiez de la fatigue est le premier pas vers la recherche de solutions. L’important est que vous osiez briser le mur du silence en parlant de vos difficultés. N’hésitez pas à parler de votre situation à des amis, à la famille ou à un intervenant, car le soutien peut faire une grande différence.
Il est important de recharger vos batteries en intégrant des moments de repos et des activités de détente dans votre emploi du temps. Pourquoi ne pas adopter de saines habitudes de vie telles que l’exercice physique, une alimentation équilibrée, et des techniques de relaxation pour gérer le stress?
Prenez le temps régulièrement de vous arrêter afin d’examiner les besoins de la personne dont vous vous occupez pour vérifier si le soutien que vous avez est toujours approprié selon l’évolution de la situation.
Différentes ressources sont disponibles comme les services de répit, les groupes de soutien pour proches aidants ou les professionnels de la santé. Informez-vous auprès de nos intervenants pour discuter de la possibilité d’intégrer un groupe de soutien, un café-rencontre pour proches aidants ou bien obtenir des rencontres individuelles. L’importance de s’entourer demeure un atout majeur dans votre accompagnement.
Si vous vivez de l’épuisement, parlez à un professionnel de la santé. Il pourrait vous aider, n’oubliez pas que l’épuisement peut influer aussi sur votre santé physique et vice-versa.
Il arrive fréquemment que la personne que l’on aide refuse au départ de recevoir de l’aide extérieure. Personne n’a envie d’avoir besoin d’aide! Les réticences peuvent cacher certaines peurs, poser des questions à votre proche vous permettra peut-être de mieux comprendre ce qui se cache sous cette réticence et ainsi dénouer la situation.
Exemple de questionnement : La personne a-t-elle des peurs cachées ? A-t-elle des craintes face aux personnes inconnues ? Est-ce que cette peur peut être liée au jugement ou au fait d’être confronté à sa perte d’autonomie ?
Dans la mesure du possible, il peut être favorable d’aborder le sujet avec votre proche. Dans le cas où la personne n’est pas en mesure de collaborer, notamment, en raison d’un trouble cognitif, une approche rassurante et personnalisée pourrait être une option gagnante.
Quelques conseils pratiques:
Nous sommes là pour vous aider à explorer diverses approches pour aborder la situation avec votre proche. Bien que la réticence puisse souvent constituer un obstacle, il est essentiel de continuer à rechercher des solutions. Notons, qu’il existe des circonstances particulières ou des actions peuvent être entreprises malgré ces réticences (à valider avec votre professionnel de la santé).
À l’APPAD, nous proposons également une formation sur la réticence envers les services, ainsi que des solutions personnalisées adaptées à votre situation. Consulter nos intervenants pour plus d’informations.
Le soutien d’un proche aîné vieillissant ou malade peut apporter son lot de défi pour les familles, c’est pourquoi nous vous recommandons la lecture de notre guide d’accompagnement et de réflexion Parents vieillissants, parlons-en ! Vous pouvez aussi demander la version imprimée de ce guide à un intervenant de l’APPAD.
Pour permettre à votre parent de rester à la maison aussi longtemps que possible, il est important de discuter ouvertement de la situation avec lui, tout en impliquant les autres proches. Il s’agit d’un processus collaboratif où chacun peut exprimer ses préoccupations, ses attentes et ses idées, en gardant toujours à l’esprit que c’est votre parent qui doit faire le choix final. Parfois, notre proche n’est plus en mesure de prendre de telles décisions alors, il est important de prendre les décisions afin de protéger son proche tout en respectant les balises légales.
Lorsque cela est possible, commencez par discuter avec votre parent pour savoir quelles sont ses difficultés, ce qu’il souhaite pour son quotidien et comment il envisage son avenir. Cela peut inclure des problèmes de mobilité, des difficultés à entretenir la maison ou un sentiment de solitude. Vous pouvez parler avec votre proche de votre vision de la situation. Il est important de vérifier régulièrement comment les choses évoluent, car les besoins peuvent changer avec le temps. Par exemple, si au début une simple aide pour les tâches ménagères suffit, des soins médicaux à domicile peuvent devenir nécessaires plus tard.
N’oubliez pas que des professionnels de la santé peuvent vous aider à faire l’évaluation des besoins de votre proche.
Différents types d’actions peuvent être entreprises selon les besoins, d’où l’importance de bien les connaître ou de consulter un professionnel ou l’APPAD pour vous orienter dans vos démarches. Par exemple, il est peut-être temps de faire certaines adaptations dans la maison. Cela peut inclure l’installation de rampes pour l’aider à se déplacer, de barres d’appui dans la salle de bain pour éviter les chutes, ou même un monte-escalier si besoin. Ces aménagements permettent de rendre la maison plus accessible et plus sécurisée, tout en préservant l’autonomie de votre parent.
Vous pourriez également faire appel à des services d’aide à domicile, comme l’aide pour le ménage, la préparation des repas ou encore des soins médicaux. Ces services peuvent être ajustés en fonction des besoins spécifiques de votre parent.
Avec le temps, l’autonomie de votre proche peut diminuer. Il est donc essentiel de revoir les services et aménagements à mesure que ses besoins changent. Si, au début, il avait besoin de peu d’aide, cela peut évoluer vers des besoins plus importants, comme une assistance quotidienne ou une surveillance médicale plus rapprochée. Anticiper ces changements permet de mieux s’y préparer et de réagir rapidement sans précipitation.
Il est également important de se renseigner sur les aides financières disponibles. Des subventions existent pour aider à couvrir les frais liés aux aménagements de la maison ou aux services à domicile, afin de rendre ces solutions plus accessibles financièrement.
Impliquer les membres de la famille ou d’autres proches dans cette démarche est essentiel. En discutant avec eux, vous pouvez partager les responsabilités et vous assurer que tout le monde comprend bien les besoins de la personne aidée. Cela permet de répartir les tâches, que ce soit pour organiser les soins, les visites, l’aide à domicile.
Oui, vous pourriez avoir droit à des avantages fiscaux que vous aidiez votre parent, votre conjoint ou une personne en dehors de votre famille. Les avantages fiscaux sont établis en fonction de certains critères liés à votre situation. Il existe des ressources financières mais également d’autres types de ressources pouvant vous venir en aide et vous épargner une charge financière.
Appelez-nous pour plus d’informations ou consulter la page Les ressources financières pour les proches aidants.
Si l’état de santé ou l’autonomie de votre proche se détériore et que les tâches et responsabilités deviennent plus lourdes, vous pourriez envisager une solution d’hébergement. Il est primordial, en premier lieu, de discuter avec votre proche pour connaître ses préférences : souhaite-t-il opter pour un hébergement ou préfère-t-il rester à domicile le plus longtemps possible ? Si la deuxième option est privilégiée, il existe des solutions et des services pouvant améliorer sa qualité de vie tout en réduisant votre propre charge (voir la question « Je souhaite que mon parent puisse vivre à la maison le plus longtemps possible, comment agir? »)
Lorsque votre proche désire la relocalisation, il faut alors entreprendre une démarche de réflexion quant au choix du futur milieu de vie et trouver une solution qui répondra aux besoins de tous. Le guide Choix d’un milieu de vie peut être un outil à consulter lorsque l’on entreprend cette démarche.
Pour commencer, il s’agit de faire l’évaluation des besoins de votre proche. Plusieurs questions permettent de mieux orienter la réflexion. Quel sont ses besoins spécifiques en termes de soins médicaux ? Quel type d’assistance est nécessaire et quel est son niveau d’autonomie ?
Ensuite, vous pouvez vous informer sur les différents types d’hébergements qui sont présents dans la région, que ce soient les résidences privées, les ressources intermédiaires (RI) ou les CHSLD. Cependant, il existe des alternatives aux résidences telles que des habitations administrées par l’Office d’Habitation Drummond, les coopératives d’habitation, les logements adaptés, les maisons intergénérationnelles, les appartements supervisés ou les ressources de types familiales, qui peuvent être envisagées. Le choix d’un nouveau milieu de vie varie selon les besoins et le budget de votre proche. Notons aussi qu’il y a des hébergements privés et publics.
Vous pouvez consulter votre professionnel de la santé, le CLSC, un travailleur social et/ou l’Association des Personnes Proches Aidantes Drummond pour vous accompagner dans cette démarche et vous offrir le soutien nécessaire pour prendre une décision juste et éclairée.
Allez visiter et n’hésitez pas à parler aux résidents ainsi qu’au personnel sur place afin de vous faire une idée claire de l’environnement et des services offerts. Il est primordial de se renseigner sur les critères d’admission ainsi que les démarches à entreprendre pour valider l’admissibilité de votre proche.
Lorsque le choix du nouveau milieu de vie est fait, vous pouvez maintenant organiser la relocalisation !
À chaque étape de cette démarche, il est essentiel d’impliquer votre proche dans le processus et de s’assurer que chaque aspect est conforme à ses attentes. En effet, étant donné qu’il s’engage dans une nouvelle phase pouvant susciter des inquiétudes et des appréhensions, il est crucial de veiller à son accord et à son confort tout au long du parcours.
Oui, vous êtes un proche aidant. Il est certain que vous êtes d’abord une maman ou un papa, mais la réalité de votre enfant vous emmène bien plus loin. Même si certains parents peuvent considérer leur rôle comme une normalité, avoir un enfant confronté à des défis implique de fournir un soutien régulier ou ponctuel, à court ou à long terme, dans le but d’améliorer ou de maintenir la qualité de vie de cet enfant. Vous êtes un père ou une mère ET un proche aidant.
Oui, vous n’avez pas à prendre en charge tous les aspects de la vie de votre enfant seul. Vous pouvez être accompagné et vous pouvez avoir l’aide de nombreuses organisations de la santé qui peuvent vous décharger de certaines tâches ou stress et vous aider ainsi que votre enfant. Pour connaître les ressources qui pourraient vous aider, contactez le 811 option 2 ou l’APPAD.
Si vous devez vous absenter de votre travail pour vous occuper d’un enfant malade, vous avez plusieurs options.
CNESST
https://www.cnesst.gouv.qc.ca/fr/conditions-travail/statuts-particuliers/proches-aidants
Gouvernement du Canada
https://www.canada.ca/fr/services/prestations/ae/proches-aidants.html
Conciliation proche aidance-travail
https://procheaidancetravail.ca/
Il est probable que votre enfant ait droit à des aides. Avant 18 ans, il est possible d’obtenir le supplément pour enfant handicapé au niveau provincial et au niveau fédéral. Si l’enfant est admissible à ces prestations, celles-ci s’ajouteront aux allocations familiales. Le supplément sert à aider financièrement les familles à assumer la garde, les soins et l’éducation d’un enfant dont la déficience ou le trouble des fonctions mentales limite de façon importante la réalisation de ses habitudes de vie pendant une durée prévisible d’au moins un an. Les difficultés de l’enfant ainsi que les répercussions de celle-ci doivent doit être attestées par un professionnel de la santé. Prendre note que les critères d’admissibilités diffèrent d’un gouvernement à l’autre. Il existe aussi d’autres crédits possibles.
On retrouve aussi le Régime Enregistré d’Épargne Invalidité (REEI) qui est destiné à l’épargne pour les personnes handicapées, avec des contributions non déductibles d’impôt, mais des retraits non imposables et des aides gouvernementales possibles. Si vous souhaitez avoir plus d’informations ou savoir si votre enfant est admissible, veuillez consulter votre comptable ou votre planificateur financier.
De plus, votre enfant pourrait obtenir de l’aide spécialisée selon sa situation. Il est possible d’avoir plus d’informations sur les services offerts en consultant le réseau de la santé ainsi que les différents organismes communautaires. Vous pourriez ainsi en savoir plus sur l’offre de loisir et les camps de jour adapté, la carte accompagnement loisir (CAL), les services et les programmes de répits disponibles, etc.
Vous pouvez consulter :
Régime enregistré d’épargne-invalidité (REEI) – Canada.ca
https://www.carteloisir.ca/demander-votre-cal/quels-sont-les-criteres-pour-obtenir-votre-cal/
Bien sûr, les proches aidants peuvent soutenir un membre de leur famille élargie ou une personne proche avec qui ils n’entretiennent aucun lien familial. Des services sont là pour aider tous les types de proches aidants.
Vous pouvez effectivement vous absenter de votre travail pour vous occuper d’un proche, mais les modalités peuvent varier en fonction de votre situation spécifique et des politiques de votre employeur.
Voici quelques points à considérer :
CNESST
https://www.cnesst.gouv.qc.ca/fr/conditions-travail/statuts-particuliers/proches-aidants
Gouvernement du Canada
https://www.canada.ca/fr/services/prestations/ae/proches-aidants.html
Conciliation proche aidance-travail
https://procheaidancetravail.ca/
N’hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin d’informations supplémentaires ou de conseils spécifiques.
Vous pouvez nous contacter par téléphone, par messagerie ou courriel ou encore vous rendre directement à notre milieu de vie. Vous ne serez jamais tenu de partager votre vécu.
Il est également possible de s’abonner à notre infolettre mensuelle pour rester informé de nos activités et des nouvelles relatives à la proche aidance.
Vous pouvez devenir membre de notre association à tout moment, soit via nos services en ligne, soit en remplissant un formulaire d’adhésion en personne. L’adhésion est gratuite et vous permet de recevoir notre journal trois fois par an, incluant nos calendriers d’activités saisonnières, ainsi que des tarifs préférentiels pour certains événements.
Nous pouvons vous assister dans les démarches pour obtenir du répit au sein de la communauté ou auprès du système de santé. Notre connaissance des programmes et de leurs critères d’admission, nous permettra de votre référer aux bons programmes en fonction de vos besoins.
Nous proposons également un service de répit accessoire qui vous accorde une aide financière pour vous rembourser des frais liés à une présence-surveillance lors de votre participation aux activités ou rencontres de l’APPAD (avec l’approbation du conseil d’administration de l’organisme).
Pour obtenir davantage d’informations, n’hésitez pas à nous contacter !
Non, nous n’offrons pas d’aide financière. Par contre, il existe différents programmes et ressources, dépendamment de votre situation et celle de votre proche, vers lesquels nous pourrions vous orienter.
Vous avez la possibilité de bénéficier de consultations téléphoniques ou virtuelles avec une intervenante. De plus, vous pouvez participer à nos webinaires depuis chez vous ; inscrivez-vous pour recevoir le lien Zoom !
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Oui, nous proposons des services aux personnes proches aidantes endeuillées. Ces personnes ont accès à du soutien individuel, au café-rencontre de discussion « Depuis ton départ », qui se tient tous les mois et accueille de nouveaux participants à tout moment. Il y a aussi le groupe « Quand tu es parti, je me suis cherché », qui dure 7 semaines à raison d’une rencontre par semaine. Ce dernier aborde les différentes étapes du deuil.
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